🔥 Enduro 24MX : Revivez l’essence de la saison 2025 à travers ses moments les plus fous 🏆

La saison 2025 du Championnat de France d’Enduro 24MX a été une année explosive, entre exploits techniques, rivalités acharnées et paysages à couper le souffle. Entre les sentiers escarpés des Alpes et les terrains accidentés des Cévennes, les pilotes ont donné tout ce qu’ils avaient pour s’imposer dans cette discipline exigeante où précision, endurance et instinct font la différence. Aujourd’hui, la FFMoto TV vous offre l’opportunité de replonger dans l’intensité de cette saison, à travers des interviews exclusives, des moments clés en course et des retours d’expérience qui résument à eux seuls l’âme de l’Enduro français.


🏁 Les performances qui ont marqué la saison

Un duel historique : Thomas Lavie vs. les favoris

Si un nom résume la saison 2025, c’est bien celui de Thomas Lavie, double champion de France en titre et figure incontournable du 24MX. Mais cette année, les défis se sont multipliés, et le pilote de KTM a dû composer avec une concurrence plus serrée que jamais.

  • À Saint-Flour, Lavie a confirmé son statut de maître du terrain en dominant une épreuve réputée pour sa difficulté, avec un temps de 1h28’32" qui a fait trembler les autres favoris.
  • En Cévennes, il a frôlé le doublé en terminant 2e, à seulement 12 secondes du vainqueur, prouvant que personne ne peut le considérer comme un simple favori.
  • Son secret ? “Un setup ultra-robuste, une gestion de la fatigue mentale irréprochable, et une confiance absolue dans mon matériel. Chez KTM, on a travaillé sur des suspensions plus réactives pour les virages serrés, et ça a payé.”

À ses côtés, Nicolas Roussel (Husqvarna) et Mathieu Lartigue (Yamaha) ont livré des combats à la limite de l’épuisement, avec des performances dignes des grands champions. Roussel, notamment, a volé la vedette lors de l’épreuve de Vagney, où il a réalisé un sans-faute technique sur un terrain glissant, terminant 3e malgré une chute en début de course.


Les révélations de la saison

Si les habitués ont brillé, 2025 a aussi été l’année des surprises :

  • Léa Delort (Husqvarna), 18 ans, a démarré comme une tornade en catégorie junior, terminant 2e du championnat derrière son aîné. Son style aéré et sa capacité à anticiper les obstacles ont séduit tout le paddock.
  • En catégorie vétérans, Jean-Marc Faure (KTM) a réédité son exploit de 2024 en remportant le titre malgré un accident en début de saison. “J’ai appris à gérer la douleur et à rouler avec moins de peur”, explique-t-il. “L’Enduro, c’est aussi une question de mental.”
  • Les équipes privées ont également fait parler d’elles, comme Team Enduro 43 (Yamaha), dont Julien Carré a terminé 4e du général, prouvant que l’expérience et l’adaptation comptent autant que les budgets pharaoniques.

💬 Les voix du paddock : entre passion et défis

Estelle Vuillemin : “L’Enduro, c’est bien plus qu’une compétition, c’est un mode de vie”

Au micro d’Estelle Vuillemin, coordinatrice du championnat, les pilotes ont libéré leur franc-parler sur les défis de la saison, les évolutions du sport et leurs projets pour 2026.

“Cette saison a été un vrai test pour les pilotes. Les terrains deviennent de plus en plus techniques, avec des sections en rochers ou des descentes techniques qui demandent une précision chirurgicale. Les jeunes, comme Léa Delort, ont su s’adapter rapidement, mais c’est aussi ça, la beauté de l’Enduro : on apprend tous les jours.”

Sur l’évolution du matériel : “Les motos sont de plus en plus performantes, mais le vrai défi, c’est de garder un équilibre entre puissance et maniabilité. Chez KTM, on travaille sur des moteurs plus souples pour les débutants, tout en gardant des performances pour les pros. C’est un équilibre subtil.”

Sur l’avenir du championnat : “Nous voulons attirer plus de jeunes, et pour ça, il faut montrer que l’Enduro n’est pas qu’une question de vitesse, mais aussi de stratégie, de respect de l’environnement et de passion. Les épreuves comme celle de Peyrat-le-Château, avec son mélange de forêt et de rochers, sont parfaites pour ça.”


Les présidents de Moto-Clubs : “Sans eux, pas de saison”

Derrière les pilotes, une armée de bénévoles organise chaque épreuve. Jean-Pierre Martin, président du Moto-Club de Langogne, nous confie :

“Organiser une épreuve d’Enduro, c’est comme monter une pièce de théâtre : il faut des décors (les pistes), des costumes (les motos), et des acteurs (les pilotes). Mais sans les bénévoles pour préparer les parcours, gérer la sécurité et accueillir les spectateurs, rien ne serait possible. Cette saison, on a eu la chance d’avoir des conditions météo exceptionnelles, mais c’est grâce à eux que tout a pu se dérouler.”

Sur l’attractivité du sport : “Les jeunes générations ont parfois du mal à comprendre l’engagement qu’il faut pour faire vivre ce sport. Mais quand tu vois des pilotes comme Lavie ou Roussel s’entraîner pendant des mois dans des conditions extrêmes, tu réalises que c’est bien plus qu’un loisir : c’est une mission.”


🎥 Les moments inoubliables à ne pas manquer

La FFMoto TV a compilé les meilleurs extraits de la saison 2025 pour vous offrir un vrai voyage émotionnel à travers les épreuves emblématiques.

🏆 Saint-Flour : Le spectacle des Cévennes

  • Thomas Lavie réalise un sans-faute technique sur une descente de rochers, laissant ses adversaires sans voix.
  • Nicolas Roussel chute spectaculairement… avant de se relever en 3 secondes et de terminer l’épreuve en tête du classement intermédiaire.
  • Une section de trail en forêt où les pilotes ont dû négocier des racines et des pentes à 45° sous les yeux de centaines de spectateurs.

👉 À voir absolument : le moment où Lavie passe devant Roussel dans la dernière ligne droite, sous une pluie fine.

🌄 Vagney : L’épreuve qui divise

  • Terrain glissant et boueux, cette manche a été chaotique, avec plusieurs abandons en raison de motos bloquées.
  • Léa Delort a dominé la catégorie junior malgré une chute en début de course.
  • Un duel serré entre Lavie et Lartigue, où chaque seconde comptait.

👉 Le moment clé : la chute de Roussel dans un virage serré, suivie d’un reprise fulgurante qui a fait frémir le public.

🏔️ Peyrat-le-Château : Le défi ultime

  • Une épreuve mythique, avec des pentes raides et des sauts techniques sur des rochers.
  • Mathieu Lartigue a volé la vedette avec une performance en solo, terminant 2e malgré une moto qui a calé à deux reprises.
  • La victoire de Roussel, après une course à l’arrêt, où chaque pilote a dû gérer sa stratégie d’essence.

👉 À retenir : le dernier virage, où Lavie a dépassé Roussel sous les ovations, scellant son titre avec style.


🔮 2026 : Et maintenant ?

Les enjeux pour la saison prochaine

Avec les calendriers 2026 déjà publiés, les pilotes et les organisateurs ont déjà les yeux rivés sur les défis à venir :

  • Nouveaux terrains : Des épreuves comme Vertolaye (Puy-de-Dôme) ou Langogne (Ardèche) promettent des parcours encore plus techniques, avec des sections en enduro léger et des dénivelés importants.
  • Développement du 24MX féminin : La FFMoto mise sur plus de visibilité pour les femmes, avec des épreuves dédiées et un soutien accru pour les jeunes talents comme Léa Delort.
  • Innovation technique : Les constructeurs travaillent sur des motos plus légères et plus réactives, avec des freins plus performants pour les descentes techniques.

Les projets des champions

  • Thomas Lavie : “Je veux continuer à pousser les limites, peut-être en testant des motos plus légères pour gagner en agilité. Et pourquoi pas un nouveau défi à l’international ?”
  • Nicolas Roussel : “2025 a été une année de maturation. Je veux maintenant viser les podiums en Europe, et pourquoi pas un jour en MXGP ?”
  • Léa Delort : “Je veux être la première femme à remporter le titre de championne de France en 24MX avant mes 20 ans. Et après ? Peut-être une carrière en moto-cross, ou pourquoi pas en rallye-raid ?”

🎬 La saison 2025 en une vidéo : à ne pas rater !

Pour revivre toute l’intensité de cette saison, la FFMoto TV vous propose une compilation exclusive réunissant :

Les interviews des pilotes (Lavie, Roussel, Delort, etc.) ✅ Les moments clés en course (chutes, dépassements, victoires) ✅ Les retours des organisateurs sur les épreuves ✅ Les coulisses du paddock : entraînements, préparations, défis

👉 Cliquez ici pour regarder la vidéo complète (lien à insérer)


💬 Le mot de la fin : pourquoi l’Enduro 24MX fascine-t-il autant ?

Si le motocross attire par son rythme effréné, et le rallye-raid par ses défis extrêmes, l’Enduro 24MX séduit par son équilibre parfait entre technique, nature et passion.

  • C’est un sport où la moto est un prolongement du corps, où chaque mouvement compte.
  • C’est un sport où l’on apprend à respecter la nature, en adaptant sa stratégie aux conditions météo et au terrain.
  • C’est un sport où les héros sont ceux qui se relèvent après une chute, ceux qui gèrent leur fatigue et ceux qui savent lire le parcours comme un livre ouvert.

Cette saison 2025 l’a encore prouvé : l’Enduro, c’est bien plus qu’une compétition. C’est une philosophie.


Et vous, quel a été votre moment préféré de la saison ? Partagez vos souvenirs en commentaires, et restez connectés pour les révélations de 2026 ! 🏍️💨

(Crédits photos : FFMoto, Moto-Clubs partenaires, FFMoto TV)