Stark Future VARG SM : la Supermoto électrique qui pulvérise les codes 🏍️⚡

124,5 kg. 80 chevaux. 914 Nm de couple. Avec ces chiffres, la Stark VARG SM ne se contente pas d’entrer sur le marché des Supermotos – elle le dynamite. Après avoir révolutionné le motocross avec sa VARG MX, la marque suédoise frappe fort en dévoilant sa version 100 % électrique et 100 % routière, homologuée pour l’Europe, les États-Unis, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Une machine qui promet d’électriser aussi bien les trajets urbains que les sessions piste… sans une goutte d’essence.


Une bête de course débridée pour la route 🚀

Des performances qui défient la physique

Avec un rapport poids/puissance inégalé (1,56 kg/ch pour la version Alpha), la VARG SM surpasse toutes les Supermotos thermiques du marché. Comment ?

  • Moteur PMAC (Permanent Magnet AC) : 80 chevaux en version Alpha (60 ch en Standard), avec un couple instantané de 914 Nm à la roue – soit près de trois fois plus qu’une 450cc thermique.
  • Accélération fulgurante : grâce à l’absence de boite de vitesses, la puissance est disponible dès 0 tr/min, sans temps de latence. Le pilotage devient précis, linéaire et ultra-réactif, même en sortie de virage serré.
  • Gestion électronique poussée : trois modes de conduite (Urbain, Stunt, Piste) avec réglages indépendants de la puissance, du frein moteur (0 à 100 %) et de la régénération. Un simple bouton au guidon permet de basculer entre un mode “trajet quotidien” et un mode “attention, ça va envoyer”.

“On a conçu la VARG SM pour qu’elle soit aussi à l’aise dans les bouchons que sur un circuit. Le couple électrique change tout : pas de trou à mi-régime, pas de gestion de rapport… juste de l’adhérence et du contrôle.” — Un ingénieur Stark Future (source : communiqué de presse)

Autonomie et recharge : le compromis réaliste

La batterie de 7,2 kWh en magnésium (qui sert aussi de composant structurel pour rigidifier le châssis) offre :

  • 120 km en mixte urbain (idéal pour les trajets quotidiens).
  • 81 km en cycle WMTC (conditions réelles, selon le protocole mondial).
  • 79 km sur autoroute (à 110-120 km/h).

Recharge :

  • 1h30 à 2h via le chargeur portable 3,3 kW (compatible prises domestiques et bornes AC).
  • Option rapide : un chargeur plus puissant (en développement) réduirait ce temps à 45 minutes.

Petit bémol : pas de compatibilité avec les bornes DC ultra-rapides (type Tesla Superchargeur) pour l’instant. Mais Stark promet des mises à jour logicielles pour optimiser la gestion thermique.


Châssis et suspensions : la précision d’une machine de course 🔧

Un cadre taillé pour le Supermotard

La VARG SM repose sur une architecture hybride :

  • Cadre principal en acier haute résistance (pour la rigidité).
  • Sous-cadre en aluminium forgé (pour alléger l’arrière).
  • Tés de fourche usinés CNC (16 mm d’offset) pour une direction ultra-précise.

Suspensions KYB : le must du réglable

  • Fourche avant :
    • KYB à cartouche fermée 48 mm, entièrement réglable (compression, détente, précharge).
    • 290 mm de débattement (identique à une Supermoto thermique haut de gamme).
    • Nouveau té de fourche spécifique SM pour un meilleur feeling dans les virages serrés.
  • Amortisseur arrière :
    • Triple réglage (hauteur de selle, compression, détente).
    • 303 mm de course pour absorber les sauts et les nids-de-poule urbains.

Freinage et pneumatiques : l’équilibre parfait

  • Frein avant : étrier Brembo radial monobloc 4 pistons + disque flottant 320 mm.
  • Frein arrière : disque 220 mm (avec option commande au guidon pour les amateurs de stunt).
  • Pneus tubeless au choix :
    • Pirelli Diablo Rosso IV (standard, polyvalent).
    • Dunlop Sportsmart TT (performance piste).
    • Michelin Road 6 (pluie et froid).
    • Anlas Grip Plus (conditions extrêmes).

Bonus : un mode “Crawl” pour les manœuvres en marche arrière (pratique en ville ou pour les créneaux serrés).


Design et homologation : la Supermoto du futur, mais légale 🚦

Une esthétique agressive… et fonctionnelle

  • Phare avant : 4 000 lumens (trois fois plus que la concurrence) pour une visibilité nocturne optimale.
  • Clignotants en silicone optique : flexibles, incassables et intégrés dans les garde-boue.
  • Support de plaque discret mais renforcé, avec éclairage LED intégré.

Homologation mondiale

La VARG SM est prête à rouler dès sa sortie d’usine, avec :

  • Certification Euro 5+ (zéro émission, zéro compromis).
  • Compatibilité permis A1 (et même permis voiture dans certains pays européens, comme en France pour les < 11 kW).
  • Frein à main optionnel (monté au guidon) pour les amateurs de stunt ou de pilotage précis en compétition.

Personnalisation et tarifs : le luxe accessible ? 💰

Stark Future mise sur un niveau de customisation inédit pour une moto électrique :

  • Pièces en titane (repose-pieds, boulons, axes) pour gagner encore en légèreté.
  • Quatre options de pneus (voir ci-dessus).
  • Frein arrière au guidon (inclus pour le marché américain).

Prix et disponibilité

  • Version Standard (60 ch) : 12 990 €.
  • Version Alpha (80 ch) : 13 990 €.

Comparatif :

  • KTM 690 SMC R (thermique) : ~12 500 € (mais 73 ch, 147 kg, et entretien coûteux).
  • Zero FXE (électrique) : ~13 000 € (mais 46 ch, 132 kg, autonomie similaire).

Verdict : la VARG SM se positionne comme la Supermoto électrique la plus performante du marché, avec un prix justifié par sa technologie et sa polyvalence.


Le mot de la fin : une révolution en marche 🔥

La Stark VARG SM n’est pas qu’une moto – c’est une déclaration d’intention. En combinant : ✅ La puissance d’une machine de compétition. ✅ L’agilité d’une Supermoto. ✅ La praticité d’un deux-roues urbain. ✅ Le silence et la propreté d’un moteur électrique.

Stark Future prouve qu’on peut rouler vite, loin, et proprement sans sacrifier le plaisir. Reste à voir si les pilotes traditionnels oseront franchir le pas… et si les circuits de Supermotard sauront s’adapter à cette nouvelle ère.

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